Comment atteindre la première marche du bonheur
Bonjour les zamis,
Récemment, un beau jeune homme m'a demandé comment je faisais pour avoir un tel dynamisme ! Ben... heu, chai pas.. je suis née comme ça. Puis la conversation s'est tounée vers les différents moyens d'accéder à notre vrai nature. De fil en aiguille, Bastien m'a proposé de participer à quelques interviews pendant lesquelles j'expliquerai comment j'en suis venue à être ma meilleure amie, (ce qui fut loin d'être le cas pendant longtemps).
Ce qui me fit grand plaisir car, je me souviens avoir commencé ma voie de conférencière par un sujet qui me tenait fort à coeur : S'AIMER SOI MÊME
N'oubliez pas de laisser un commentaire à Bastien qui débute dans cette voie ce qui lui permettra de progresser, ainsi que vos questions auquelles je répondrai lors d'un prochain entretien, et pourquoi pas, vos suggestions.
Comme la vie est amusante !!
VOICI UNE TRANSMISSION DU MAÎTRE QUI ECLAIRE BIEN CE QUI EST DIT DANS CET ENTRETIEN
« Même si elles sont apparemment mauvaises, ne vous plaignez jamais des conditions matérielles qui vous sont données dans cette existence. Dites-vous qu’elles ne sont pas déterminantes. Ou, plus exactement, elles sont déterminantes dans le sens où elles vous obligent à faire un travail sur vous-même. Chacun se fait une idée de ce qui est bon ou mauvais pour lui, et voilà que souvent, la Providence, elle, a de tout autres points de vue. Le plus sage est donc de considérer que les conditions qui vous sont données sont les meilleures pour votre évolution. Et de toute façon, elleslink seront bonnes ou mauvaises suivant ce que vous serez capable d’en faire. Si on ne sait pas les utiliser, les conditions les plus favorables ne produisent que des catastrophes, tandis que si on apprend à les utiliser, les mauvaises conditions deviennent les plus bénéfiques. Ce n’est pas sur le moment que vous pouvez porter un jugement sur les conditions qui vous ont été données, mais longtemps après, quand vous découvrez quel parti vous avez su en tirer. » | |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Magda Rita