L'Islande: ses volcans, ses geysers et... ses elfes
Bonjour les zamis,
C'est y pas mignon en Islande ?
Imaginez, en France, des d'avocats et des écolos se grouper pour demander à la Sté Vinci d'abandonner un projet d'autoroute, parce que cela perturbe les Efes. Et, encore plus fort... ces mêmes avocats et écolos d'affirmer qu'une église d'Elfes se situe à l'endroit même des travaux.
Vraiment, je suis morte de rire
Allez, retroussons nos manches les enfants, on a du boulot !
MagdaRita
|
Le journal anglais The Indépendant rapporte qu'en Islande, des avocats se sont joints à des écologistes pour réclamer l'abandon d'un projet d'autoroute aux autorités locales, entre autres parce qu'il pourrait déranger l'habitat des elfes. Les activistes affirment qu’une église d’elfes se trouverait sur le site potentiel. L'autoroute en question permettrait de relier directement la péninsule d'Aftanes, où le président Ólafur Ragnar Grímsson a élu domicile, à la ville de Gardabaer, dans la banlieue de Reykjavik. La Cour suprême d'Islande a suspendu le projet sur la demande d'un groupe de militants appelé « Les Amis de la Lave », pour qui la construction de l'autoroute aurait des conséquences négatives non seulement pour les elfes, mais aussi pour le paysage exceptionnel de la région, sa faune, et son patrimoine culturel et historique. Andri Snaer Magnason, un militant écologique du groupe, a expliqué à l’Associated Press que l’autoroute risquait de diviser un champ de lave et qu’elle allait détruire des sites de nidification de plusieurs espèces animales. Des centaines de personnes manifestent régulièrement dans la zone pour faire obstacle au travail des bulldozers. Les créatures mythologiques sont très présentes dans le folklore scandinave et nordique. Cependant, au Danemark, en Norvège et en Suède, les gens ne croient plus aux elfes depuis le 19ème siècle, mais en Islande, les choses sont différentes et ils demeurent un sujet sérieux. En 2007, une enquête menée par l'université d'Islande avait même conclu que 62% des sondés estimaient qu'il était possible qu’ils existent. |