Gaîté ou joie ?
Bonjour les zamis,
Si la joie des autres vous dérange, si la gaîté des autres vous importune... si l'enthousiame des autres vous agace... lisez ce qui suit et devenez comme eux.
A
bas les pisse-vinaigre,
à bas les sombres et les taciturnes,
à bas les "je ris quand j'me brûle"
à bas les intelli-chiants
à bas les prudents,
et Vivent tous les autres !!
ceux qui rient pour un rien, qui pleurent aussi, qui sautent et qui tressautent.
Ceux qui aiment à contre courant,
ceux qui osent l'impensable et qui se gourrent,
ceux qui chantent à tue tête et qui font des fausses notes en rigolant,
ceux qui poussent et bousculent
ceux qui observent et s'amusent
ceux qui aiment les pisse-vinaigre, les sombres et les taciturnes, les "je ris quand j'me brûle", les intelli-chiants, les prudents... car, un jour, leur amour joyeux et bienveillant les fera changer et, à leur tour, ceux-là, riront pour un rien jusqu'à devenir imprudents...
Magda Rita
« Il existe quelques différences entre la gaieté et la joie. La gaieté se lit immédiatement sur un visage. La gaieté est souriante, il se dégage d’elle quelque chose de léger. La joie vient de régions plus profondes. On peut souffrir et en même temps ressentir de la joie, parce qu’à travers cette souffrance on sent qu’on est en train de comprendre quelque chose d’essentiel. Évidemment, cette joie profonde peut aussi s’exprimer par la gaieté. C’est pourquoi on observe que beaucoup de sages sont gais. Ce qu’ils ont compris les allège des fardeaux de l’existence. Contrairement à ce que beaucoup s’imaginent, les sages ne sont ni tristes ni sérieux, ils sont gais, et même dans les souffrances et les épreuves ils sont capables de rire. Est-ce qu’on a étudié tous les bienfaits du rire ? Il entretient la souplesse en nous. Il nous rend plus légers et nous pousse à avancer. Il nous rend aussi plus aimants. Celui qui sait rire aime plus que les autres. Et il apprend mieux et plus vite que les autres. » | |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |