DU FOND DU CŒUR DE DIEU
Dieu a dit :
Il n'y a pas d'oubli. Il n'y a pas de mort. Et pourtant il y a ceux qui ont traversé la fiction de leur propre vie, en se supprimant, terminant leur vie au milieu d'un chapitre et laissant le livre inachevé.
Ceci cause de grands maux chez ceux qu’ils ont quittés. Les êtres aimés laissés derrière commencent à expérimenter la douleur.
Peu importe à quel point pouvait être malheureux et désespéré celui qui s’est supprimé, peu importe que sa vision fût brouillée, peu importe qu'il n'ait pas vu d'autre alternative, en se supprimant il a supprimé sa vie de celle des autres. Il jette ses ennuis dans leurs pattes et s’enfuit par la porte. Il a des factures impayées, et il part, laissant les autres payer. Il dit, « je ne suis plus ici » !
Rappelez-vous, Mes bien-aimés, J'ai donné le libre arbitre. Je ne condamne pas ceux qui sont si chargés qu'ils se suppriment. Quand ils se suppriment, c'est comme s'ils disaient, « C’est ainsi» ! C'est comme s'ils disaient, « Vous pouvez l'avoir! J’en ai fini. Je n’en veux plus ».
Bien sûr, ce n'est pas une bénédiction que ce qu'ils laissent dans leur sillage. Ils laissent leur colère et leur désespoir. D'une manière ou d'une autre ils ont distribué les responsabilités de leur propre vie. Ils pourraient ne pas avoir assumé la responsabilité de leur propre chagrin. Ils ont essayé de laisser leurs ennuis derrière. Ils ont abandonné leur appartement. Ils ont abandonné leur douleur et sont partis, la maison en désordre. Qu'ils étaient malheureux! Ce n'était pas votre faute, Mes bien-aimés. Ce n'était pas de votre fait.
J'encourage tout le monde à vivre. Quand il y en a qui se trouvent dans un sombre tunnel, Je les conjure de découvrir leur voie. S'ils sont dans le désespoir, Je leur demande d'arrêter de penser à leur chagrin et de diffuser la lumière pour d'autres. A ceux qui sont laissés derrière, la mort semble inutile, et, pourtant, ce n'était pas la décision de ceux laissés derrière qu’il en soit ainsi, et ce n'est pas leur volonté qu’il en soit ainsi maintenant. Celui qui s’est supprimé est tout autant Mon enfant que vous.
Vous, aussi, à l'occasion, avait pensé abandonner la vie. Je suis heureux que vous soyez toujours sur Terre travaillant pour Moi. Vous êtes ici pour une raison. Pas une personne n’est ici sans raison. Tout le monde est présent pour une bonne raison. Vous êtes ici pour une bonne raison. Je vous demande de ne pas lever la main et dire, « Non c’est assez ». Je vous demande du fond de Mon coeur de donner une autre chance à la vie, et une autre, autant que nécessaire. Je vous demande d'être votre propre grâce salvatrice.
Cessez l'école si vous le devez.
Cessez un travail si vous le devez.
Mais gardez votre vie intacte sur Terre.
Prenez la décision de vivre.
Ce que fait l'un affecte tous les autres. Si vous sentez que vous devez renoncer à votre vie, alors donnez chaque parcelle de votre vie en service aux autres.
Si vous devez renoncer à votre vie, renoncez-y de cette façon. Dites : « Je ne suis plus ici pour moi. Moi, qui suis si malheureux, je ferai ce que je peux pour aider les autres. Permettez-moi d'être leur bienfaiteur. Permettez-moi de leur donner l'espoir. Peu importe combien j’ai d’os cassés, peu importe combien mon cœur est brisé, je me lèverai et servirai les autres. J'oublierai de me servir dès maintenant. Je m'oublierai ainsi que comment je me sens ou comment je ne me sens pas. Je soignerai comment un autre se sent. Je peux renoncer à mon désespoir. Et si je ne peux pas, même dans le désespoir, je peux faire quelque chose pour rendre la vie meilleure aux autres, et, ainsi, à moi-même ».
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/