LA FOI DE JESUS (Cosmogonie d'Urantia)
LA VIE ET LES ENSEIGNEMENTS DE JÉSUS
Ce groupe des fascicules a été parrainés par une commission de douze
médians d'Urantia agissant sous la supervision d'un
directeur révélateur de l'ordre des Melchizédeks.
La base de ce récit a été fournie par un médian secondaire
qui fut jadis chargé de la surveillance suprahumaine
de l'apôtre André.
LA FOI DE JéSUS
Jésus avait en Dieu une foi sublime venant du coeur. Il éprouva les hauts et les bas ordinaires de l'existence humaine, mais il ne mit religieusement en doute les soins et les directives de Dieu.Sa foi était le fruit d'une claivoyance née de l'activité de la présence divine, de son Ajusteur intérieur.
Cette foi n'était ni traditionnelle ni simplement intellectuelle ; elle était entièrement personnelle et purement spirituelle.
Le Jésus humain voyait Dieu comme étant saint, juste, et grand, aussi bien que véridique, beau et bon. Il focalisa dans sa pensée tous ces attributs de la divinité en tant que "volonté du Père qui est aux cieux". Le Dieu de Jésus était simultanément "le Saint d'Israël" et le "Père céleste vivant et aimant". Le concept de Dieu en tant que Père n'était pas originel chez lui, mais Jésus exalta et éleva l'idée au niveau d'une expérience sublime en apportant une nouvelle révélation de Dieu et en proclamant que toute créature humaine est un enfant de ce Père de l'amour, un fils de Dieu.
Jésus ne s'accrocha pas à la foi en Dieu comme une âme se débattant dans une guere contre l'Univers et menant une lutte à mort contre un monde hostile et pécheur.
Il n'avait pas recours à la foi uniquement pour se consoler au milieu des soucis ou pour s'encourager devant la menace du désespoir. La foi n'était pas pour lui une simple compensation illusoire aux réalités déplaisantes et aux tristesses de la vie.
En face de toutes les difficultés naturelles et des contradictions temporelles de l'existence humaine, il éprouvait la tranquilité d'une confiance suprême et indiscutée en Dieu, et le prodigieux sentiment de vivre, par la foi dans la présence même du Père céleste. Cette foi triomphante était une expérience vivante d'épanouissement spirituel effectif. La grande contribution de Jésus aux valeurs de l'expérience humaine ne fut pas de révéler tant d'idées nouvelles au sujet du Père céleste, mais plutôt de démontrer si magnifiquement et humainemet un type nouveau et supérieur de foi vivante en Dieu.
Jamais sur aucun monde de notre Univers, ni dans la vie d'aucun homme, Dieu ne devint une réalité aussi vivante que dans l'expérience de Jésus de Nazareth.
Les habitants d'Urantia et de toutes les autre planètes de l'univers local découvrent dans la vie terrestre du Maître une religion d'un type nouveau et supérieur, une religion basée sur les relations spirituelles personnelles avec le Père Universel et entièrement validée par l'autorité suprême d'une expérience personnelle authentique. La foi vivante de Jésus était plus une méditation mystique.
La théologie peut fixer, formuler, définir, et dogmatiser la foi mais, dans la vie humaine de Jésus, la foi était personnelle, vivante, originale, spontanée, et purement spirituelle. Elle n'était ni un respect pour la tradition, ni une simple croyance intellectuelle tenue pour un crédo sacrél, mais plutôt une expérience sublime et une profonde conviction qui le tenaient en sécurité.
Sa foi était si réelle et si totalement inclusive qu'elle balaya absolument tous les doutes spirituels et détruisit efficacemenent tout désir opposé. Rien ne put arracher Jésus de l'ancrage spirtuel dans cette foi fervente, sublime, et intrépide. Même en face de la défaite apparente, ou dans l'angoisse des déceptions et d'un désespoir menaçant, il se tenait calmement dans la présence divine, sans peur, et pleinement conscient d'être spirituellement invincible.
Jésus bénéficiait de l'assurance tonifiante de posséder une foi stoïque ; dans chaque situation éprouvante de la vie, il fit infailliblement preuve d'une fidélité sans discussion à la volonté du Père. Et cette foi superbe ne fut pas ébranlée, même par la menace cruelle et écrasante d'une mort ignominieuse.
Chez les génies religieux, une puissante foi spirituelle conduit trop souvent directement à un fanatisme désastreux, à l'exagération du facteur religieux, mais ce ne fut pas le cas pour Jésus. Sa vie pratique ne fut pas affectée défavorablement par sa foi extraordinaire et sa claire compréhension de l'esprit, parce que son exaltation spirituelle était l'expression entièrement inconsciente et spontanée de son âme dans son expérience personelle avec Dieu.
à suivre
Cette foi n'était ni traditionnelle ni simplement intellectuelle ; elle était entièrement personnelle et purement spirituelle.
Le Jésus humain voyait Dieu comme étant saint, juste, et grand, aussi bien que véridique, beau et bon. Il focalisa dans sa pensée tous ces attributs de la divinité en tant que "volonté du Père qui est aux cieux". Le Dieu de Jésus était simultanément "le Saint d'Israël" et le "Père céleste vivant et aimant". Le concept de Dieu en tant que Père n'était pas originel chez lui, mais Jésus exalta et éleva l'idée au niveau d'une expérience sublime en apportant une nouvelle révélation de Dieu et en proclamant que toute créature humaine est un enfant de ce Père de l'amour, un fils de Dieu.
Jésus ne s'accrocha pas à la foi en Dieu comme une âme se débattant dans une guere contre l'Univers et menant une lutte à mort contre un monde hostile et pécheur.
Il n'avait pas recours à la foi uniquement pour se consoler au milieu des soucis ou pour s'encourager devant la menace du désespoir. La foi n'était pas pour lui une simple compensation illusoire aux réalités déplaisantes et aux tristesses de la vie.
En face de toutes les difficultés naturelles et des contradictions temporelles de l'existence humaine, il éprouvait la tranquilité d'une confiance suprême et indiscutée en Dieu, et le prodigieux sentiment de vivre, par la foi dans la présence même du Père céleste. Cette foi triomphante était une expérience vivante d'épanouissement spirituel effectif. La grande contribution de Jésus aux valeurs de l'expérience humaine ne fut pas de révéler tant d'idées nouvelles au sujet du Père céleste, mais plutôt de démontrer si magnifiquement et humainemet un type nouveau et supérieur de foi vivante en Dieu.
Jamais sur aucun monde de notre Univers, ni dans la vie d'aucun homme, Dieu ne devint une réalité aussi vivante que dans l'expérience de Jésus de Nazareth.
Les habitants d'Urantia et de toutes les autre planètes de l'univers local découvrent dans la vie terrestre du Maître une religion d'un type nouveau et supérieur, une religion basée sur les relations spirituelles personnelles avec le Père Universel et entièrement validée par l'autorité suprême d'une expérience personnelle authentique. La foi vivante de Jésus était plus une méditation mystique.
La théologie peut fixer, formuler, définir, et dogmatiser la foi mais, dans la vie humaine de Jésus, la foi était personnelle, vivante, originale, spontanée, et purement spirituelle. Elle n'était ni un respect pour la tradition, ni une simple croyance intellectuelle tenue pour un crédo sacrél, mais plutôt une expérience sublime et une profonde conviction qui le tenaient en sécurité.
Sa foi était si réelle et si totalement inclusive qu'elle balaya absolument tous les doutes spirituels et détruisit efficacemenent tout désir opposé. Rien ne put arracher Jésus de l'ancrage spirtuel dans cette foi fervente, sublime, et intrépide. Même en face de la défaite apparente, ou dans l'angoisse des déceptions et d'un désespoir menaçant, il se tenait calmement dans la présence divine, sans peur, et pleinement conscient d'être spirituellement invincible.
Jésus bénéficiait de l'assurance tonifiante de posséder une foi stoïque ; dans chaque situation éprouvante de la vie, il fit infailliblement preuve d'une fidélité sans discussion à la volonté du Père. Et cette foi superbe ne fut pas ébranlée, même par la menace cruelle et écrasante d'une mort ignominieuse.
Chez les génies religieux, une puissante foi spirituelle conduit trop souvent directement à un fanatisme désastreux, à l'exagération du facteur religieux, mais ce ne fut pas le cas pour Jésus. Sa vie pratique ne fut pas affectée défavorablement par sa foi extraordinaire et sa claire compréhension de l'esprit, parce que son exaltation spirituelle était l'expression entièrement inconsciente et spontanée de son âme dans son expérience personelle avec Dieu.
à suivre